Comment faire une critique du restaurant d’Eric Frechon (trois étoiles depuis 2009)? Impossible, nous sommes là face à une perfection qui impose une certaine humilité.
Alors nous évoquerons le cadre : il vient de changer. Nous ne sommes plus depuis fin octobre dans la grande salle tapissée de boiseries certes sans lumière du jour mais avec un je-ne-sais-quoi très vieille France. Le tout un peu fake évidemment puisque l’immeuble est récent, mais cela avait son charme et ça nous plaisait bien au fond ! La nouvelle salle, moins grande, ouverte sur les jardins se place dans les canons d’une esthétique plus directement bourgeoise et standardisée des grands Palaces du jour (influence de Madame Oetker ?). On pourrait être au restaurant gastronomique l’Abeille du Shangri-La, le bling-bling en moins.
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